Incroyable Témoignage de Ghislain qui rencontre le Seigneur.

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En le lisant ce que m’a écrit Ghislain, j’ai compris l’appel au secours de cet homme de 32 ans qui me semblait au bout du rouleau, tant il était atteint dans son être intérieur, complètement désemparé.

Avec son accord, je voudrais vous partager et vous laisser découvrir ce message qu’il m’a adressé ce soir-là.  Evangéliste William THERON

 

Cher William, J’ai hésité plus d’une fois avant de me donner le courage de t’écrire pour te dire cette chose qui me tient à cœur.

J’ai fait la prière que tu as conseillée dans ton livre « Arraché des couloirs de l’enfer », puis j’ai demandé au Seigneur Jésus de m’assisté pendant que tu me liras.

Je m’appelle ……………….. Gislain. J’ai 32 ans, je vis en ce moment à Hambourg en Allemagne, mais je suis Burkinabè (Burkina Faso).

Le 30 Janvier 2014, il y a donc seulement quelques jours, je me suis retrouvé dans la situation correspondant à ce que tu décris dans les pages 14 et 15 de ton livre.

Donc tu comprends que j’ai donné ma vie au Seigneur Jésus. Je lui ai demandé de me prendre en main, car je souffre de solitude chronique, d’absence d’amour et de considération dans ma vie depuis mon enfance, et que depuis quelques années je me suis donnée à une vie qui finalement veut me pousser au suicide, et surtout que Jésus demeure le seul qui peut faire quelque chose pour moi dans cette vie.

Le seigneur est une source que je n’ai jamais négligée, mais mon enfance de cauchemar et le rejet des gens à mon égard pendant de longues années m’ont donné l’impression que même le Seigneur ne voudrait pas de moi si je demandais à venir à lui. Alors je suis juste resté dans mon coin à juste penser à lui souvent, avec une forme de certitude qu’il répond seulement aux prières des autres.

J’ai eu une enfance tourmentée. Père militaire en colère qui bât au sang sa femme et ses huit enfants dont je suis le septième, et tous les problèmes que cela peut engendrer. Je ne t’apprends rien à ce sujet cher William.

Mais adulte j’ai su profiter d’un don que je me suis découvert : j’avais un esprit très créatif et beaucoup d’idées, je savais faire des concepts. J’avais aussi le sens du jeu d’acteur, et cela m’a conduit au théâtre qui est devenu mon métier. Connais-tu ce truc qui consiste à incarner un personnage et à raconter une histoire avec les émotions et les décors qui vont avec la situation. C’est un univers ou beaucoup de choses peuvent se passer.

Une carrière qui s’est présenté très vite prometteuse a commencé pour moi au théâtre. J’étais vraiment doué et très vite j’ai monté les échelons au point d’en arriver à faire de grands voyages à travers l’Afrique et l’Europe. De 2004 à 2011 j’ai fait plus de voyages que n’importe quel artiste de mon âge et de mon Pays. Je ne peux pas dire que je vivais dans le luxe mais je gagnais ma vie et l’horizon se promettait plus fructueux.

Mais comme vous, dans ma carrière je n’étais jamais satisfait, mon enfance douloureuse n’arrêtait pas de me revenir à l’esprit, et une recherche inexpliquée de quelque chose qui m’était inconnue me pourchassait. Tu le connais ce sentiment : « Chercher quelque chose sans savoir qu’on la cherche et ce que l’on cherche ».

Comme j’étais débordant d’idées très souvent appréciées, j’ai multiplié les activités, pour combler mon manque mais, plus j’avançais plus je me sentais coincé. Réussissant dans mes activités, mais de plus en plus seul et triste. Je suis devenu un homme a beaucoup faire, infatigable, entouré de monde, mais solidaire et suicidaire. Comédien et poète aimé, mais persuadé que le bonheur ne restera qu’un simple mot pour moi. Et le fait de savoir cela me fendait le cœur, me rendait amère, et me maintenait profondément en tous lieux et en tout temps dans une tristesse monstrueuse, excepter un seul lieu : « la Scène de Théâtre » et un seul moment : « Quand je raconte des histoires aux gens ». Aujourd’hui je c’est pourquoi : « C’était le seul endroit où mon savoir-faire impressionnait, et le seul moment ou des gens me regarder avec considération et avec quelque chose qui ressemblait a de l’amour ». Mais ce n’était qu’un moment qui finissait, les gens repartaient chez eux en famille, et moi je redevenais seul et le rideau noir de ma vie se réinstallait en moi, jusqu’au prochain spectacle. Je te passe des autres détails accablants de ce genre de sensations.

Après une succession de nombreux problèmes inexpliqués, et une fermeture instantanée et forcée de mon centre culturel, en 2012 j’ai entamé ce que je croyais être le voyage de de ma libération, mais il s’est avéré être le voyage de ma perdition. Chassé par des accusations à tort, je me suis retrouvé en Allemagne par la promesse d’un ami artiste qui jurait de me donner un coup de main. Mais en quelques temps je me suis retrouvé seul dans ce grand pays, sans aucun moyen de quoi que ce soit. Parce que plus tard mon ami m’a révélé les vraies raisons de son « vouloir m’aider » : « C’était un homosexuel qui cherchais un partenaire sexuel ». L’abattu et le vulnérable, l’ambitieux déchu que j’étais constituais une proie facile. Donc mon ami voulait m’aider à une condition. J’ai dû refuser sa proposition car je croyais encore en quelque chose dont j’ignorais le pourquoi, mais que je ne voulais pas lâcher tout de suite. La rue est devenue mon seul abri. J’ai oublié le théâtre, souvent obligé d’aider à ventre de la drogue, je n’en consomme pas, par je ne sais quelle chance dans ce haut risque, obligé pour me trouver de quoi manger.

En décembre 2013, privé de lieu où rester, croupissant dans mon éternelle et dure solitude, ne sachant plus quoi faire et fatigué de chercher sans arrêt, je suis reparti chez mon ami homosexuel, pour espérer une forme de réconciliation, ou qu’il prenne pitié de mon état, et qu’il change son regard à mon égard. Il m’a accepté sous son toit, me donne à manger, mais tient à me transformer en prostitué. Jusqu’au moment où je vous écris, je suis toujours chez lui, mais refusant toujours de me laisser toucher.

De son côté, mon ami y tient et multiplie ses efforts pour que je devienne homosexuel. Souvent il me lance le regard qui tue : « Tu finiras par faire ce que je veux, car je sais bien que tu n’as pas le choix ».

J’ai refusé de croire que je n’ai pas le choix, mais, le 30 Janvier dernier, après mainte et mainte réflexion épuisante, cherchant le « comment me suicider ». J’ai crié au secours à quelqu’un à qui tu as fait appel aussi, à un moment dans ta vie william « Jésus ».

A mon grand étonnement, Jésus m’a étonné, et de la manière la plus inexplicable possible ; il m’a montré qu’il est le Seigneur des seigneurs et que quiconque lui cri son chagrin trouve récompense. Il m’a montré son impartialité car, immédiatement après avoir lancé ce qui pour moi se présentait comme « le dernier cri avant la tombe », dans mon cœur quelque chose s’est passé. Aussi incroyablement que vrai, j’ai eu ce que j’ai appelé la MBHV, la Meilleure Bonne Humeur de ma Vie. Excuse-moi mon humour William, mais c’était un moment des plus extraordinaires qu’un homme peut s’imaginer vivre. Et j’ai dit : « Jésus, c’est donc comme ça que tu es ? Dès que l’on appelle tu viens vraiment ? » Une force inexpliquée m’a prise tout de suite, je suis devenu moins inquiet, malgré l’absence évidente de solution à ma situation.

Il était 4 heures du matin, et j’ai commencé à poster des messages sur le net via des sites dédiés au seigneur et sur des pages Facebook chrétiennes, espérant trouver des chrétiens qui veulent bien m’aider à comprendre ce qui m’arrivait. Très vite j’ai eu des réponses de gens qui étaient contents de la nouvelle et qui m’ont encouragé dans ma décision, car je leur ai dit que je voulais devenir chrétien.

Et depuis ce jour, chaque instant qui arrive, je suis de plus en plus conscient et certain que le seigneur a commencé à faire quelque chose dans ma vie. Je me sens vraiment nouveau. Oui, William, je me sens bien dans ma peau ; aussi bien que je ne veux pas voir cela s’arrêter alors, je ne dors plus vraiment. Avant je le faisant moins à cause de mes cauchemars, mais maintenant je ne le fais plus parce que Jésus m’écoute ; Quel privilège mon frère ? Je lui parle, je ne rate plus l’occasion de lui dire un mot. Jamais je n’ai eu le centième de cette émotion et jamais je ne me suis senti aussi bercé. Tu le connais ce moment aussi, je ne t’apprends toujours rien.

Et il y a quelques deux jours j’ai prié Jésus en disant : « Seigneur, sauve-moi de là où je suis Seigneur, car tu sais mieux que moi que ce lieu n’est pas ma place ! Je sais maintenant que tu m’écoutes et que tu veux que je vive, fait moi un truc Seigneur. Tu connais le potentiel qu’ il y a en moi, utilise moi, utilise mes idée car tu sais que je suis un homme à idée, révèle moi quelque chose, je t’en prie Seigneur».

Dire après deux semaines de conversion au christianisme que le seigneur me parle serait peut-être une forme de prétention. Mais je sais que Dieu m’a écoutée, une idée m’est venue de faire quelque chose que depuis deux ans, affligé de douleur, j’ai perdu l’envie de faire : « Ecrire une pièce de théâtre, la monter et la jouer n’importe où, n’importe quand » ; La chose que je sais le mieux faire dans ma vie. Mais cette fois, pas pour raconter une histoire pour la raconter ou pour faire plaisir pour plaire : « Une pièce de théâtre qui glorifie les bienfaits du Dieu vivant ». Sachant le talent que j’ai, je toucherai des cœurs chagrinés et peut être, comme ton histoire me fait sourire aujourd’hui, je ferai sourire à mon tour des gens, car je jouerai une histoire vraie et de façon vraie. C’est ainsi que je veux rendre mon témoignage.

Alors hier matin, brusquement l’envie m’est venue de commencer cette pièce. Donc l’écrire d’abord. Mais pour glorifier le nom de Dieu dans son immensité et dans sa vérité j’ai pensé à mener quelques recherches, par la main guide du Seigneur. J’estimais que ma seule histoire de converti nouvellement ne suffirait pas. Je voulais en savoir plus, savoir si ce qui m’est arrivé est déjà arrivé à d’autres personnes et comment. Car je me suis donné à quelque chose à laquelle je suis désormais attaché de tout cœur, malgré que je ne sois pas encore allé dans une église, et que je n’ai pas encore rencontré un serviteur de Dieu. Toute ma foi, je la vis par internet pour le moment. Trois raisons expliquent cela :  1- Je suis en Allemagne et je parle français. 2- Je vis à Hambourg, là ou apparemment il n’y a pas de communauté protestante francophone (j’ai regardée dans internet). 3) Ces deux dernières années m’ont été très pénible, j’ai été sévèrement rejeté à chaque fois que j’ai voulu m’approcher de gens, cela m’a affecté psychologiquement et aujourd’hui je ne sais plus comment me tenir devant une personne et lui parlé de moi. Je ne sais que répondre à des questions et parler aux gens qui me regardent vraiment avec attention. J’en trouve vraiment peu sur ma route. Et je me dis que si jamais on me rejette à l’église je ne s’aurai plus quoi faire (bien sûr c’est psychologique, mais ça y est en moi, difficile de m’en défaire en un claquement de doigts). Je prie le seigneur qu’il m’aide à rencontrer un homme de Dieu, qui voudra m’écouter.

Revenant donc à mes recherches… je suis allé sur internet, dans la rubrique « Témoignage texte » du site de TopChrétien.com, et j’ai commencé à lire les titres, puis j’ai vu « Arraché des couloirs de l’enfer ». Ce titre m’a tout de suite parlé car ma vie peut aussi s’intituler comme ça un jour. Alors j’ai lu la partie publiée sur le site. Elle semblait avoir une concordance avec ma vie. J’ai été vraiment frappé par la ressemblance, et content de découvrir ce récit. Je voulais en savoir plus, mais j’ignore comment je suis allé voir dans la partie commentaires et j’ai remarqué que l’auteur lui-même « toi William » avait posté des commentaires, dans lesquels il disait que l’histoire avait une suite, et que l’on pouvait la télécharger gratuitement et la lire.

Quelle ne fut ma joie ? J’ai donc téléchargé ton livre et je me suis mis à le lire. Je fus agréablement étonné, quant au fur et à mesure de ma lecture, le nombre de ressemblances avec ma propre vie, ne cessaient d’accroitre ? Et quel ne fut mon plaisir de le lire ? Plus j’avançais dans l’histoire, plus je me voyais sur un certain nombre de plan. Et le bonheur dans tout ça, c’est que l’auteur de cette histoire a trouvé réconfort auprès d’un ami que j’ai récemment eu comme ami moi aussi : Le Seigneur Jésus Christ.

Puis j’ai prié le seigneur de m’aider à t’écrire et a t’expliquer jusqu’à la limite du possible la chose que j’ai eu au cœur en te lisant. Puis j’ai commencé à t’écrire avec la peur au ventre que comme a l’habitude je sois incompris. Mais tout de suite j’ai repris courage parce que je sais que je ne suis plus seul dans ma vie : Jésus est avec moi et il fera pour moi, tous ce que je ne suis pas en mesure de faire. Alors si tu me lis en ce moment, c’est parque j’ai cette certitude que ma lettre longue de quatre pages ne tombera pas dans un vide ; Je serai entendu !

Et j’ai dit merci au seigneur pour ce qu’il m’a fait découvrir ton histoire. Et toi mon Frère William, je dis merci d’avoir publié ton témoignage. Que le Seigneur te bénisse !

Mon histoire est presque comme la tienne, et en te lisant, j’ai vu combien je serai heureux dans tes mains. J’ai trouvé en ton histoire ce que je veux monter en Théâtre, je ne cherche plus. C’est pour moi la preuve même que le seigneur dans toute son infinie bonté m’a écouté et a donné réponse à mes questions, soulagement à ma souffrance et qu’il se prépare à me trouver une famille qui va m’aimer : « Chose que j’ai cherché toute ma vie, en vain ».

Cher William, ce qui pour moi à commencer comme une petite note pour te remercier d’avoir publié ton histoire et de permettre aux gens qui cherchent un sens à leur existence de la lire, est devenu une lettre de quatre pages, la plus longue que je n’ai jamais écrite. J’espère que tu vas la lire jusqu’au bout, et que tu as déjà pardonné mes dires maladroits, mes fautes d’orthographe et de mon français que j’ai essayé d’apprendre pendant quelques petites années a l’école. Ecole que j’ai mal connu à cause de ce tu sais déjà.

Je fini en te disant que je serai un homme heureux si je reçois un mail de toi. Je serai un l’homme très heureux si dans les jours à venir j’ai l’occasion de communiquer avec toi, par téléphone ou par Skype. Je serai l’homme le plus heureux au monde si tu deviens mon ami et par la suite mon mentor pour le restant de ma vie. Tu m’aideras beaucoup. Peut-être je vais un peu trop vite, mais certain que tu le comprendras.

A chaque fois que j’ai fait une demande dans ma vie, je me suis attendu à ce la réponse soit négative. Question d’habitue du difficile.

Mais cette fois-ci je suis totalement confiant, car celui qui vous a reconstruit, me promet de me reconstruire aussi.

J’aime vraiment le Seigneur Jésus Christ.

Que Dieu vous Bénisse !

 

A la fin de ma lecture, je pleurais, bouleversé par son histoire qui m’a fortement touché, d’autant plus que Gislain était la première personne à être  si fortement touchée par mon témoignage et à m’en parler.

J’ai relu plusieurs fois son courrier pour bien comprendre le sens de son message.

Le lendemain, j’ai prié pour lui et commencé à lui répondre en lui expliquant combien son message m’avait ému et avait touché mon cœur. Sa sincérité, sa profonde douleur, son parcours si émouvant, il était impossible d’être insensible à son histoire.

Je lui ai dit que j’acceptais de devenir son ami, son aide, pour le voir grandir dans les voies du Seigneur Jésus.

Pendant plusieurs jours nous nous sommes parlé. J’avais bien compris que Gislain devait au plus vite quitter ce garçon qui envisageait d’abuser de lui, et être dirigé vers d’autres chrétiens qui pourraient l’entourer et l’aider dans cette nouvelle vie.

J’aurais aimé être proche de lui pour le soutenir, mais la distance 20 000 Km (lui en Allemagne moi en Nouvelle-Calédonie) empêchaient cette rencontre.

Je lui ai donc conseillé de prendre contact avec un pasteur à Berlin en lui fournissant l’adresses de l’église, car j’étais fortement convaincu que c’était la meilleure solution dans l’immédiat.

Les jours suivants, nous sommes restés étroitement en relation. Gislain m’a informé qu’il avait décidé de suivre mes conseils, et que dans les prochains jours, il partirait pour Berlin et me donnerait de ses nouvelles.

J’étais tellement heureux de lui être utile et de pouvoir l’aider. Plusieurs jours ont passé sans nouvelles de Gislain ! J’étais inquiet de ne pas savoir ce qu’il se passait, comment il allait ! Il ne parle pas l’allemand, il est seul dans ce grand pays !! j’étais dans un profond malaise…Les questions ont commencé à agiter mon esprit : « lui ai-je donné le bon conseil, en le conseillant de  se rendre à Berlin ? Pourquoi ne me donne-t-il aucune nouvelle de lui ! Son silence me rongeait de plus en plus, lorsque, heureusement, est arrivé un message de Gislain.

Il me parle de ses problèmes de connexion internet, mais il va bien et me rassure sur son état. Il est allé dans l’église que je lui ai conseillée et a rencontré le pasteur qui s’est proposé de l’héberger temporairement .

 « Le Seigneur fait toute chose bonne en son temps »

Ecclésiaste 3 :11. 

Voilà que Gislain me raconte que le pasteur de l’église (assemblée de Dieu) de Berlin est un frère africain de la République démocratique du Congo, avec qui, il me précise qu’ils s’entendent très bien, Gislain est du Burkina Faso en Afrique, (combien Dieu est GRAND). Avec le Seigneur, rien n’est du hasard, tout est parfaitement et minutieusement orchestré.

 « Il fait des choses grandes et insondables, Des merveilles sans nombre ». Job 5 :9.

Quelle joie de voir la manière dont le Seigneur a conduit la vie de Gislain ! Et de quelle façon Dieu a pris soin de lui, le sauvant de cette situation  désespérée qui le retenait captif. 

Je suis resté longtemps en contact avec Gislain et j’ai pris beaucoup de plaisir à l’accompagner dans ses premiers pas chrétiens, pendant plusieurs mois.

Aujourd’hui des années sont passées, Gislain est baptisé d’eau, il est toujours à Berlin avec le Pasteur Alain O… et il sert le Seigneur dans l’église, nous échangeons beaucoup sur internet.

Moi-même, je suis maintenant ami avec le Pasteur Alain O.…Nous nous parlons régulièrement ; il m’a même invité dans son église à Berlin pour y faire une campagne d’évangélisation. « Le Seigneur aurais-t‘ il pour moi quelques projets en Allemagne ?  

Un jour peut-être le Seigneur permettra comme l’a tant souhaité mon frère Gislain, de réaliser cette pièce de théâtre (lire dans le message complet de Gislain sur Internet) qui sera le moyen de témoignage de ce que Jésus a accompli dans nos vies.

Evangéliste William THERON

 

 

 

Un commentaire

  1. Amen

    Le ven. 15 juin 2018 09:59, Témoignage de l’Evangéliste William THERON a écrit :

    > williamtheron posted:  » Cher William, J’ai hésité plus d’une fois avant de > me donner le courage de t’écrire pour te dire cette chose qui me tient à > cœur. J’ai fait la prière que tu as conseillée dans ton livre « Arraché des > couloirs de l’enfer », puis j’ai demandé au Seigneur » >

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